Les référentiels de compétences sont utilisés pour évaluer les élèves au quotidien.
Par défaut ce sont les coordonnateurs, en concertation avec leurs équipes, qui ont la responsabilité de mettre en place le ou les référentiel(s) de leur discipline.
Un référentiel est rattaché à une matière et un niveau.
Chaque niveau contient des domaines.
Un domaine est constitué d’un nom, et d’un caractère (lettre ou chiffre) qui le code.
Chaque domaine contient des thèmes.
Un thème est juste constitué d’un nom.
Dans chaque domaine, les thèmes sont implicitement numérotés à partir de 1.
Chaque thème contient des items.
Un item est constitué d’un nom.
Dans chaque thème, les items sont implicitement numérotés à partir de 0.
Chaque item peut être associé à un coefficient, relié au socle commun, et associé à des ressources pour travailler.
Les domaines et les thèmes ne sont que des boîtes (et sous-boîtes) de rangement.
Les évaluations portent uniquement sur les items.
Voici par exemple l’arborescence d’un référentiel, et la fiche de compétences associée :
Attention : tout changement dans l’organisation ou le contenu d’un référentiel peut rendre obsolète une grille de compétences distribuée aux élèves.
Par exemple, si on insère l’item « Repasser les mouchoirs » au début du thème « M1 – Repassage », alors il prendra la référence M10, et les suivantes deviendront M11, M12 et M13 !
Comme montré au paragraphe précédent, les domaines / thèmes et surtout items ont un codage automatique associé :
Si on possède un référentiel par ailleurs possédant ses propres références (par exemple en lycée professionnel), ou que l’on souhaite imposer d’autres références, c’est possible.
Dans l’interface d’édition des référentiels, on peut :
Ainsi, à partir de l’exemple précédent, on obtient un item référencé "GéoA42".
Si on veut séparer les parties par des points ou des tirets, il faut les saisir dans les références.
Ainsi, si on prend ".A" pour le thème et "-42" pour l’item, alors l’item sera référencé "Géo.A-42".
Afin de limiter la longueur d’une référence, dans le cas de références imposées le codage du niveau ne sera pas utilisé.
Ainsi, un item de Sixième "6.C11" ne devienda pas "6.GéoA42" mais seulement "GéoA42".
En cas d’utilisation de références imposées, il n’y a plus de numérotation automatique (pour le référentiel concerné).
Donc une insertion ou une suppression d’un élément de référentiel peut devoir conduire à modifier les références de ceux qui lui succèdent.
En cas de référence imposée pour un thème ou un domaine, sans rien imposer pour les items, alors tous les items se retrouveront avec la même référence.
Imposer une référence désactive la numérotation automatique, alors si les items ne sont pas aussi distingués avec une référence imposée cela pose souci.
Dans ce cas il faut donc aussi imposer des références pour les thèmes et les items afin de les distinguer.
Sur les divers relevés et bilans on peut choisir de faire apparaître ou non les références des items.
À une exception près : la synthèse collective d’un relevé d’items.
Dans ce tableau à double entrée, il n’y a physiquement la place d’écrire que la référence.
Pour le format html, au survol une infobulle vient rappeler l’intitulé complet de l’item (sauf pour les écrans tactiles).
Mais sur le format pdf, cela peut apparaître plus énigmatique.
Afin d’y remédier, l’interface d’édition des référentiels permet de saisir une abréviation (15 caractères maximum) qui sera utilisée en remplacement, uniquement pour ce tableau.
Par exemple en saisissant "MesurerAngle" comme abréviation d’un item, une affichage tel "MATHS.6.M21" deviendra "MATHS.MesurerAngle".