Documentation de SACoche

Page informative CNIL / RGPD - Échanges avec le serveur communautaire.

Il est possible soit de créer un référentiel vierge, soit de partir d’un référentiel existant qu’un autre établissement a accepté de partager (c’est à dire de le rendre visible par les professeurs des autres établissements).

• Cliquer sur (si un référentiel est manquant).
• SACoche propose soit de démarrer avec un référentiel vierge, soit de rechercher parmi les référentiels partagés sur le serveur communautaire.
• Dans le cas d’une recherche parmi les référentiels partagés, cliquer sur pour voir le détail d’un référentiel, et sur pour en sélectionner un.
• Il est possible de chercher un référentiel partagé parmi un autre niveau ou une autre matière.
• Sélectionner le référentiel de votre choix ou un référentiel vierge, un niveau où l’installer, et valider.

Si un niveau apparait grisé et non sélectionnable, c’est parce qu’il existe déjà un référentiel de la matière choisie sur ce niveau.
Dans ce cas on peut :

• soit commencer par supprimer le référentiel existant (mais on perd alors tout l’historique des évaluations associées)
• soit modifier le référentiel existant (renommer, fusionner, déplacer...) jusqu’à obtenir la forme voulue pour le nouveau référentiel
• soit importer le référentiel sur un autre niveau disponible, puis effectuer des déplacements de domaines (par exemple)

Si vosu manquez de niveaux disponibles (par exemple afin d’importer temporairement plusieurs référentiels pour ensuite les combiner), sollicitez un administrateur afin qu’il ajoute des niveaux.

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On peut choisir de rendre publics ou non les référentiels de compétences en cliquant sur . Il y a plusieurs statuts possibles :

• référentiel partagé : à utiliser pour tout référentiel novateur que l’on souhaite rendre visible.
• référentiel non partagé car sans intérêt : à utiliser si on s’est inspiré d’un référentiel existant, peu ou pas modifié.
• référentiel non partagé : soit par choix, soit parce qu’on ne le considère pas abouti.

Seuls les référentiels d’une matière et d’un niveau nativement intégrés dans l’application peuvent être partagés.
En cas d’usage d’une matière ou d’un niveau spécifique à l’établissement, la notion de partage est hors-sujet et ne peut pas être modifiée (icône ).

Un administrateur fixe les réglages par défaut depuis son menu Paramétrages établissementAlgorithme de calcul, utilisés pour les nouveaux référentiels (non rétroactifs pour les référentiels déjà en place), et ces réglages peuvent être modifiés pour chaque référentiel par les coordonnateurs (icône ).

• Concernant le mode de calcul, on peut soit favoriser les évaluations récentes soit comptabiliser autant chaque évaluation (DOC).
• Concernant le nombre d’évaluations considérées, le nombre maximal dépend du mode de calcul, et le nombre minimal peut être paramétré (jusqu’à se restreindre à la dernière évaluation).
• Concernant les évaluations prises en compte, ce peut être restreint à celles de la période en cours, ou élargi aux évaluations antérieures (DOC).

Pour savoir quel mode de calcul est actuellement réellement utilisé pour chaque référentiel, utiliser le menu Informations généralesRéférentiels en place.

On peut supprimer un référentiel existant.

Cette action supprime tout son contenu, ainsi que les résultats associés de tous les élèves.
Un référentiel en cours d’utilisation ne devrait donc jamais être effacé.

Effacer un référentiel nécessite trois demandes de confirmation :

• Limiter le nombre de personnes ayant le droit de gestion des référentiel est une sécurité supplémentaire.
• En cas de "disparition", un administrateur peut chercher une explication depuis son menu InformationsLog des actions sensibles.

• En le mettant en partage sur le serveur communautaire.

Un référentiel est associé à un niveau et une matière.
On peut le placer en partage sur le serveur communautaire (sauf matière ou niveau spécifique).
Ceci permet de l’importer sur un autre niveau ou une autre matière.

Cependant il ne devrait alors servir que de base de travail, et être ensuite modifié.
Car pour SACoche, des items placés dans des référentiels différents sont distincts, même s’ils portent le même nom.
Et c’est une mauvaise idée d’avoir des items identifiques un peu partout (DOC : Organisation des items dans les référentiels).

• Non, sauf à utiliser des moyens de contournement qui ne sont pas recommandés.

Principe de fonctionnement

Un référentiel est rattaché à une matière et un niveau.
Il peut donc y avoir autant de référentiels que de matières et de niveaux.
Mais il n’est pas possible de créer des référentiels différents pour un même niveau et une même matière.

Ainsi, les référentiels ne sont pas ceux d’un professeur ni d’une classe, mais d’une équipe pédagogique.

Justification du fonctionnement

Ce fonctionnement n’est pas idéologique mais conceptuel.

Si chaque professeur pouvait avoir son propre référentiel :

• il serait impossible d’organiser un suivi pluri-annuel (un élève évalué telle année sur l’item "savoir nager" du référentiel de M. X le serait l’année suivant sur l’item "Savoir nager" du référentiel de M. Y sans aucun lien entre les deux)
• au gré des enseignants qui viennent ou s’en vont, des référentiels tomberaient dans l’oubli ou seraient supprimés (avec les notes associées) ou se retrouveraient en de multiples exemplaires
• même sur une année donnée, cela ne serait pas tenable : un élève qui aurait 2h d’histoire avec Mme X et 2h de géographie avec Mme Y ainsi que 1h de soutien en histoire-géographie avec Mme Z... pourrait donc être évalué sur 3 référentiels différents : situation impossible à gérer et à présenter de façon cohérente
• pour une matière générique telle "Transversal" ou "Vie scolaire", un élève pourrait être évalué simultanément sur 10 référentiels différents (autant que d’enseignants) de la même "matière" : situation absurde dont il serait impossible de tirer un bilan et encore moins une synthèse
• tout ceci sans compter que la multiplication des référentiels (matières × niveaux × professeurs) serait illisible

Contournements connus

Certains établissements contournent ce fonctionnement :

• soit en ajoutant une matière supplémentaire, rattachée à un seul professeur, pour qu’il puisse y placer "ses référentiels personnels" ;
• soit en ajoutant un niveau supplémentaire, au nom de l’enseignant, pour pouvoir y placer "un référentiel personnel" ;
• soit en réservant tel domaine d’un référentiel à tel professeur, pour qu’il puisse compléter le référentiel en place avec "ses items personnels".

Néanmoins, ces pratiques sont déconseillées (notamment les deux premières).
Il demeure préférable et cohérent de pouvoir s’accorder en équipe (« s’intégrer et coopérer dans un projet collectif » est d’ailleurs un item du socle commun !).
Par ailleurs, pour rappel, un référentiel d’un niveau spécifique ou d’une matière spécifique ne peut pas être ensuite mis en partage.
Enfin, toute matière spécifique pose des difficultés pour une remontée de bilans périodiques du Livret Scolaire vers LSU, donc utiliser un niveau spécifique est "un moindre mal" par rapport à l'utilisation d'une matière spécifique.

Pour interdire la modification de tous les référentiels, il suffit de n’attribuer ce droit à aucun profil utilisateur (DOC).

Pour interdire la modification des référentiels d’une matière, il suffit de ne désigner aucun enseignant coordonnateur de cette matière (DOC), dans l’hypothèse ou le droit de gestion des référentiels est affecté aux coordonnateurs, ce qui est le réglage par défaut (DOC).

Par contre, il n’est pas possible de restreindre la gestion à seulement certains niveaux selon les enseignants.

• Oui : on peut y accéder en utilisant l’établissement de démonstration.

Les référentiels partagés ne sont pas des modèles exemplaires à suivre !
Chacun pouvant créer son référentiel et le mettre en partage, on peut trouver des exemplaires améliorables, voir inadaptés.
S’il est facile de dénigrer, il est plus courageux de s’exposer : que ceux qui ont la critique facile n’hésitent pas à proposer leur référentiel, y compris parmi les corps d’inspection...

• Non : il faut utiliser les interfaces proposées.

À la naissance du logiciel (31/08/2009), un référentiel se créait en important un fichier xml.
Peu de personnes savaient produire à tel fichier valide.

Rapidement (12/10/2009), une interface pour gérer les référentiels en ligne a été intégrée à l’application.
Que ce soit pour initialiser un référentiel (créer, importer, partager, détruire), organiser son contenu (compléter, réorganiser, fusionner, renommer), ou paramétrer ses items (coefficients, liens au socle, liens de remédiation).

Cette interface, accessible à tous, s’est avantageusement substituée aux imports de fichiers.
Surtout que beaucoup de collègues démarrent en général avec un référentiel partagé qu’ils modifient ensuite.
Et pour ceux qui partent d’un référentiel vierge, la technique du "copier-coller" depuis un autre document permet de le constituer assez rapidement.

• Oui, avec un compte professeur ou directeur : utiliser le menu Informations personnellesExtraction de données puis le choix Arborescence des items par matière.

Le fichier obtenu est au format csv.

Un collègue a programmé une moulinette permettant une importation dans Moodle, qui « fonctionne pour tous les référentiels de la filière pro (CAP, BAC pro, BEP, BMA, DMA) », en précisant de « penser ensuite à régler le barème du référentiel dans Moodle ».

• DOC : Organisation des items dans les référentiels.
• DOC : Structure d’un référentiel.
• DOC : Créer / paramétrer les référentiels.
• DOC : Modifier le contenu des référentiels.
• DOC : Associer aux items des ressources pour travailler.
• DOC : Mettre en ligne des ressources pour travailler.
• DOC : Définir le format de synthèse par référentiel.
• DOC : Liaison matières & socle commun.
• DOC : Documents officiels relatifs au socle commun.